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Le Salon des Poètes de Lyon
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Le Salon des Poètes de Lyon
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Derniers commentaires
9 janvier 2015

Une immense tristesse à laquelle les poètes peuvent s'associer

je_suis_Charlie

charlie

Et il est malheureusement nécessaire d'ajouter quatre noms : ceux des victimes de la tuerie de Vincennes

 Yoav HATTAB, Philippe BRAHAM, Yohan COHEN, François-Michel SAADA

Après réflexion collective, il nous est paru intéressant de permettre aux visiteurs d'exprimer leur émotion en déposant des textes poétiques conformes à notre spécifité. Ils pourront à cet effet uiliser le module commentaire proposé en bas de cet article.

Toutefois, en raison de la sensibilité de cette information, tous les textes proposés passeront par une modération, ceci pour rester dans le respect des valeurs humaines auxquelles nous sommes attachés.

POUR LIRE LES PARTICIPATIONS, CLIQUER SUR COMMENTAIRES EN BAS DE CET ARTICLE (bien entendu tous les textes publiés restent, comme tous ceux de ce blog, les propriétés de leurs auteurs)

Remarque personnelle : sur mon blog où j'ai publié un article dans la même ligne de conduite, j'ai été questionné pour savoir si en disant JE SUIS CHARLIE, j'approuve le contenu de ce journal. Et bien pour moi la question n'est pas là, n'est plus là, peu importe ce que j'en pense, d'ailleurs je n'ai jamais été un lecteur inconditionnel de cet hebdomadaire, la question pour moi se situe au niveau de la liberté, au niveau du respect de la vie humaine.

Commentaires
M
Les voleurs d'enfants<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Ne le bousculez pas, il est rempli de larmes !<br /> <br /> Sous son air fanfaron, c'est encore un enfant.<br /> <br /> Devant rien ni personne il ne rendra les armes,<br /> <br /> C'est comme un mal de vivre, un secret étouffant.<br /> <br /> <br /> <br /> Il pleure l'innocence et le plaisir candide,<br /> <br /> Traîne un coeur en écharpe, amour ou bien dégoût,<br /> <br /> Trouve la vie atroce, une heure après... splendide !<br /> <br /> Accès de désespoir, instants de bonheur fou.<br /> <br /> <br /> <br /> Il n'est pas si joli, ce triste monde adulte...<br /> <br /> Où va-t-il désormais se trouver un héros ?<br /> <br /> Comment vaincre l'ennui, à qui vouer un culte<br /> <br /> Pour rêver de grandeur et regarder plus haut ?<br /> <br /> <br /> <br /> Le voilà proie offerte aux champions de la haine,<br /> <br /> Aux plus vils séducteurs, aux artisans du mal<br /> <br /> Qui par le jeu pervers de tous moyens en chaîne<br /> <br /> Distillent le poison d'un mortel idéal.<br /> <br /> <br /> <br /> On lui fera haïr tous les liens de tendresse<br /> <br /> En reniant famille, amis et doux pays.<br /> <br /> Là-bas, pour oublier sa peur et sa détresse,<br /> <br /> Il n'aura qu'un enfer au lieu du Paradis.<br /> <br /> <br /> <br /> Pourquoi donc tant de peine à quitter son enfance ?<br /> <br /> Ô ne le laissez pas porter son âme en deuil,<br /> <br /> Mais que brille un grand phare en son adolescence ...<br /> <br /> Sur la côte sauvage il est plus d'un écueil.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Marie-Claire Melchior
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P
DECHIRURES <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Morts d’un coup de crayon <br /> <br /> Exécution ! <br /> <br /> Morts d’un éclat de rire <br /> <br /> Où est le pire ? <br /> <br /> Morts pour des idées <br /> <br /> Bien affirmées. <br /> <br /> Nous sommes sur une poudrière <br /> <br /> Sous des prières. <br /> <br /> Enfants de la République <br /> <br /> Des satiriques ! <br /> <br /> Mais la vie sépare ceux qui sèment <br /> <br /> Autant de haine, <br /> <br /> Et nous envoie aux chrysanthèmes <br /> <br /> Orient Extrême. <br /> <br /> <br /> <br /> Morts d’un trait d’humour <br /> <br /> Aucun recours ! <br /> <br /> Morts pour un dessin <br /> <br /> Sacré destin ! <br /> <br /> Morts d’une boutade <br /> <br /> La rigolade ? <br /> <br /> <br /> <br /> Quatorze et trois pour le prophète <br /> <br /> Ca fait six sept. <br /> <br /> Ils ont leur Vérité <br /> <br /> Si mal ancrée. <br /> <br /> Dieu n’a pas mis la croix <br /> <br /> Pour cette loi. <br /> <br /> La vie, elle est bien faite <br /> <br /> Pour vivre en fête. <br /> <br /> <br /> <br /> Pierre Platroz janvier 2015
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M
Manif de poète<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> c'était le 7 janvier 2015...<br /> <br /> <br /> <br /> Je ne peux plus écrire<br /> <br /> Quand tombent des moqueurs sous les balles des fous,<br /> <br /> Quand on achève au sol des blessés à genoux.<br /> <br /> L'horreur, comment la dire ?<br /> <br /> <br /> <br /> Je ne peux plus écrire<br /> <br /> Quand un ordre barbare avilit le mot Dieu<br /> <br /> Pour établir la haine et la peur en tout lieu,<br /> <br /> Le mal et son empire.<br /> <br /> <br /> <br /> Je ne peux plus écrire<br /> <br /> Quand le monde ne sait s'affranchir des tyrans,<br /> <br /> Quand résonnent encor les appels déchirants<br /> <br /> De l'homme en son martyre.<br /> <br /> <br /> <br /> Je ne peux plus écrire...<br /> <br /> Poète, qu'ils sont tristes tes vers aujourd'hui !<br /> <br /> Crois-tu que le bonheur à jamais s'est enfui ?<br /> <br /> Que devient le sourire ?<br /> <br /> <br /> <br /> Je ne peux plus écrire ?<br /> <br /> Pourtant il faudra bien ressemer de l'amour,<br /> <br /> Ensoleiller la vie à risquer chaque jour<br /> <br /> Et cesser de maudire.<br /> <br /> <br /> <br /> Alors, je vais écrire !<br /> <br /> <br /> <br /> Marie-Claire Melchior
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C
Au secours l’amour !<br /> <br /> <br /> <br /> Les ailes de l’aigle noir ont tout recouvert.<br /> <br /> Le froid ne sera plus leur froid…<br /> <br /> Pourquoi tremblerai-je de froid ?<br /> <br /> Les ténèbres ne seront plus leurs ténèbres…<br /> <br /> Pour qui claquerai-je des dents ?<br /> <br /> Les gouffres ne seront plus leurs gouffres…<br /> <br /> Pour trouver la morsure de quels enfers ?<br /> <br /> Ils ont tout gommé de mes peurs.<br /> <br /> Je sais à présent comment ils meurent,<br /> <br /> Comment leur monde meurt,<br /> <br /> Eperdu de mensonges et de sang.<br /> <br /> Je sais à présent comment ils ont oublié leur ciel,<br /> <br /> Et comment ils veulent me faire oublier mes arcs en ciel !<br /> <br /> Alors …Au secours l’amour….<br /> <br /> Les vagues bleues se couchent<br /> <br /> Et de la coquille apparaît Vénus<br /> <br /> Qui cache sa poitrine et son pubis.<br /> <br /> Mais quel bonheur d’imaginer<br /> <br /> La liberté d’écarter ses bras<br /> <br /> Et de découvrir les beautés<br /> <br /> Du mystère féminin.<br /> <br /> Charlie dessine si bien l’amour.<br /> <br /> Alors …Gardons l’amour….<br /> <br /> Certainement,<br /> <br /> Un jour de grand vent,<br /> <br /> Les cheveux en bataille, le regard énamouré,<br /> <br /> Il tire la langue pour dire au monde<br /> <br /> La liberté de faire ce qu’il veut<br /> <br /> De dire au monde la liberté.<br /> <br /> Charlie la dessine si bien avec amour,<br /> <br /> Sous toutes ses formes, cette chère liberté.<br /> <br /> Avec tous les autres qui riaient,<br /> <br /> Qui rient à présent de ceux qui reposent auprès d’eux,<br /> <br /> Alors …Vive l’amour….<br /> <br /> Vive l’amour sans conditions<br /> <br /> Voyez, je vous aime,<br /> <br /> Voyez, je n’ai plus peur,<br /> <br /> Voyez, je suis libre,<br /> <br /> Voyez…. je vous tire la langue.<br /> <br /> Charlie Freddy
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M
Les Carillonneurs du Monde<br /> <br /> <br /> <br /> Cette nuit, je me pris à rêver… Si nous créions, nous les crayonneurs de l’infini, -pour suppléer l’imparfait- : un temps (plusse-que-juste) dans l’immortalité d’un vaillant-futur, -sans décomposer le passé-, nos esquisses ciblant un monde authentique. <br /> <br /> <br /> <br /> Au seuil de l’espérance, croquons, griffonnons ! Prolifiques, prodiguons des amalgames de jolis mots dans toute ébauche au présent-de-l’avenir ! Si nous créions, (à vos crayons !), partis d’un tout pour tous, une nouvelle Partition du Citoyen Libre de ses expressions, épris du flambant-noble, avec l’impératif de l’analyse et des principes.<br /> <br /> <br /> <br /> Gageure ? Glaneurs, traçons des traits gagnants et d’un gant de velours, façonnons cet emblème : « PCL » qui convient à l’appel, fêtant le P sans pied de nez, le C(énacle) sans renâcler, et L’(aile) à tire d’L, envers l’an, l’éployant sans parti pris.<br /> <br /> <br /> <br /> Loin des amalgames et gris-gris, dégrisés des kitchs et cibles, n’enfouissons pas nos fous-rires sous le joug des accrocs de salamalecs, point de boniments ni d’émoluments (puisse-que-sans-ressource), prônons les bravos, faisons la part belle aux kermesses, zoomons où domine la zénitude au zénith des accordeurs, (éco)chercheurs de mots. <br /> <br /> <br /> <br /> La Première lettre contient Paix, Peuple(s), Planète... offrant la parole aux passeurs pétrissant la pâte en toute sérendipité de l’anticipé, parachevant l’amour pour tous, partageant les pierreries de la poésie. La deuxième composée du Courage, de la Confiance et de la Créativité fuit les calembredaines et cupidités… reliée à la suivante par cette Lumière de la Liberté dans l’unicité de l’ouverture à l’autre.<br /> <br /> <br /> <br /> Pour Charlie, écartons l’indifférence, inventons, peaufinons, décapons les mots ! Imaginons-les dessiner l’Inuit dans l’immensité de l’immanence et complétons -intimement- dans Wiki… les mots fusant de nos cœurs.<br /> <br /> <br /> <br /> Marie-France Moriaux
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M
Le monde déraisonne<br /> <br /> <br /> <br /> Trop c’est trop…<br /> <br /> Trop de tristesse pour de l’humour<br /> <br /> Trop de sang offert à la douleur<br /> <br /> Trop de pleurs désespérés bruissant la tristesse <br /> <br /> <br /> <br /> Trop c’est trop…<br /> <br /> Trop de violence pour une démocratie<br /> <br /> Trop de primitifs pour tuer des princes<br /> <br /> Trop de noirceur pour gommer des dessins<br /> <br /> <br /> <br /> Trop c’est trop…<br /> <br /> Trop d’images interdites dans les livres de prière<br /> <br /> Trop de bêtises prisonnières d’âmes dérangées<br /> <br /> Trop de haine entre hommes aux idées différentes<br /> <br /> <br /> <br /> Trop c’est trop…<br /> <br /> Trop d’interdits privant les pensées de vivre<br /> <br /> Trop d’émissaires qui se croient Mahomed<br /> <br /> Trop de détresse pour ceux qui restent alors que la vie tourne<br /> <br /> <br /> <br /> Trop c’est trop…<br /> <br /> Pour ceux là même <br /> <br /> Qui ne voulaient que <br /> <br /> Caricaturer,<br /> <br /> Crayonner,<br /> <br /> Tracer,<br /> <br /> Ebaucher,<br /> <br /> Esquisser,<br /> <br /> Illustrer,<br /> <br /> Croquer du bout de leurs crayons le monde qui déraisonne…<br /> <br /> <br /> <br /> Maryse Cornet Carayol<br /> <br /> 07 janvier 2015 – attentat du journal CHARLIE HEBDO
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G
Liberté<br /> <br /> <br /> <br /> Sur mes cahiers d’écolier<br /> <br /> Sur mon pupitre et les arbres<br /> <br /> Sur le sable sur la neige<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur toutes les pages lues<br /> <br /> Sur toutes les pages blanches<br /> <br /> Pierre sang papier ou cendre<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur les images dorées<br /> <br /> Sur les armes des guerriers<br /> <br /> Sur la couronne des rois<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur la jungle et le désert<br /> <br /> Sur les nids sur les genêts<br /> <br /> Sur l’écho de mon enfance<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur les merveilles des nuits<br /> <br /> Sur le pain blanc des journées<br /> <br /> Sur les saisons fiancées<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur tous mes chiffons d’azur<br /> <br /> Sur l’étang soleil moisi<br /> <br /> Sur le lac lune vivante<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur les champs sur l’horizon<br /> <br /> Sur les ailes des oiseaux<br /> <br /> Et sur le moulin des ombres<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur chaque bouffée d’aurore<br /> <br /> Sur la mer sur les bateaux<br /> <br /> Sur la montagne démente<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur la mousse des nuages<br /> <br /> Sur les sueurs de l’orage<br /> <br /> Sur la pluie épaisse et fade<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur les formes scintillantes<br /> <br /> Sur les cloches des couleurs<br /> <br /> Sur la vérité physique<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur les sentiers éveillés<br /> <br /> Sur les routes déployées<br /> <br /> Sur les places qui débordent<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur la lampe qui s’allume<br /> <br /> Sur la lampe qui s’éteint<br /> <br /> Sur mes maisons réunies<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur le fruit coupé en deux<br /> <br /> Du miroir et de ma chambre<br /> <br /> Sur mon lit coquille vide<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur mon chien gourmand et tendre<br /> <br /> Sur ses oreilles dressées<br /> <br /> Sur sa patte maladroite<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur le tremplin de ma porte<br /> <br /> Sur les objets familiers<br /> <br /> Sur le flot du feu béni<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur toute chair accordée<br /> <br /> Sur le front de mes amis<br /> <br /> Sur chaque main qui se tend<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur la vitre des surprises<br /> <br /> Sur les lèvres attentives<br /> <br /> Bien au-dessus du silence<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur mes refuges détruits<br /> <br /> Sur mes phares écroulés<br /> <br /> Sur les murs de mon ennui<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur l’absence sans désir<br /> <br /> Sur la solitude nue<br /> <br /> Sur les marches de la mort<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Sur la santé revenue<br /> <br /> Sur le risque disparu<br /> <br /> Sur l’espoir sans souvenir<br /> <br /> J’écris ton nom<br /> <br /> <br /> <br /> Et par le pouvoir d’un mot<br /> <br /> Je recommence ma vie<br /> <br /> Je suis né pour te connaître<br /> <br /> Pour te nommer<br /> <br /> <br /> <br /> Liberté.<br /> <br /> <br /> <br /> Paul Eluard, Au rendez-vous allemand, 1945, Les Editions de Minuit
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E
Merci d'avoir publié ce lien en référence aux événements tragiques
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Il apparait que seuls nos règlements de concours intéressent beaucoup de nos visiteurs. Certes, cela est fort important dans la vie du Salon des Poètes de Lyon, mais ce n'est pas tout : vous pouvez participer à nos différentes activités annoncées dans la colonne centrale et relatées par albums photos dans la colonne de droite. Nous présentons ainsi un après-midi dominical artistique et culturel (conférences, récitals, concerts, théatre, etc...) par mois ; ne pas oublier les rencontres du vendredi soir de notre Groupe d'Etudes ainsi que nos différentes publications (que vous pouvez vous procurer lors de nos après-midis du dimanche). Sans oublier notre traditionnelle journée (visite et repas) de fin de saison et notre non moins traditionnel mâchon de rentrée (lors de l'Assemblée générale) ; en résumé le Salon des Poètes de Lyon ne se résume pas à nos Concours de Poésie mais recouvrent de nombreuses activités culturelles...
Le Salon n'est ni un  éditeur, ni un distributeur de livres, d'autre part les quelques ouvrages que nous présentons sont ceux de poètes "émérites", membres fidèles de notre Association.

 

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